dimanche 28 février 2010

LOVELY BONES ou Au régime AlyaneC !


Une nouvelle journée se lève sur Vincennes. Soleil glacial. Je suis partie de Bucarest car l’hiver était très froid et j’habite à Paris ou l’hiver ne quitte jamais la saison. Je veux du soleil ! Une chaleur tropicale ! Et des vacances !
Les vacances... je les ai : se sont les vacances des autres!Ce qui veut dire qu’il y a moins de monde sur la route ! Et des bonnes résolutions : faire du sport !!
Ca fait une semaine que je me suis mise au vélo d’appartement. Au moins 35 minutes pas jour ! Pas facile, mais il faut. Vue que je suis boudinée dans mes vêtements, cette mesure est obligatoire. Alors voici le menu de ce jour : réveil (tardif), petit déjeuner pendant lequel je regarde jalousement l’assiette de mon copain et sa manière de tartines le beurre sur son pain. Vélo d’appartement, déjeuner pendant lequel je regarde affamée l’assiette de mon copain. 15 minutes obligatoires jusqu’au métro vu qu’on habite loin de tout moyen de transport en commun zone 2, ciné. 15 minutes de marche à pied pour faire le retour, et dîner au yaourt pendant lequel je déteste mon copain d’être aussi maigre et de pouvoir ingurgiter tous ce qu’il lui passe par la tête. Je me force dormir et je pense à mon petit déjeuner de demain. Faut que je tienne bon  et que j’aie pas dévaliser le frigo pendant la nuit !!
En espérant couper mes pensées friandes de nourriture, LOVELY BONES de Pater Jackson m’a paru une bonne sélection. Même si les journalistes n’avaient pas aimé, j’ai voulu voir par moi-même, car la pub de ce film avait attiré toute mon attention. Surtout l’actrice principale, Saoirse Ronan, que j’avais adoré auparavant dans « Reviens moi », que je trouve en plus de très belle et très talentueuse.
L’histoire est intéressante : une jeune fille se fait touer  et se retrouve entre les 2 mondes. Les parents tentent de trouver le tueur et tout le film est basé sur cette recherche et compréhension de la perte de l’être perdu. On comprend très bien que l’histoire parle du deuil de deux côtés : de la famille et de la fille. Jusque la, tout va bien. Le problème est que dès le départ on sait le pourquoi du comment. Au bout de 15 minutes on a tout vu. Malgré les jolies images et les effets spéciaux, il y a plus rien. Le grand vide. Même si les acteurs sont formidables. Prenez l’exemple du père joué par  Mark Wahlberg il est formidable dans ses émotions et d’une justesse rare dans ses états. Et alors?
N’en parlons pas de Stanley Tucci. Pour une fois qu’il ne joue pas un gay dans un film romantique et qu’on lui donne la change de composer un nouveau personnage :  le tueur (rassurez vous je ne vous gâche pas la surprise). Il est inquiétant que par son physique et sa présence. IL est magnifique dans ce rôle.  Enfin ça fait du bien de voir ce comédien dans un autre registre.
Mais à quoi ça sert d’avoir de bons acteurs, de beaux paysages, de l’émotion alors qu’on n’a pas une histoire. Il manque le suspens, l’illusion qu’on va apprendre quelque chose de ce film …bon, vous allez me dire qu’on a l’émotion, la douleur de ces parents … des beaux effets spéciaux avec de beaux paysages…Je vous l’accorde ! J’aimerais bien que le Paradis soit tel que décrit par le réalisateur. Mais 2 heures de jolis paysages, vraiment je préfère regarder TV5.
Dans le même style allez vous louer GHOST et la, par contre vous avez non seulement de l’émotion mais aussi une belle leçon de poterie.
En conclusion, ne perdez pas le temps, malgré les belles affiches et toute la campagne de publicité faite autour.
MOI je retourne à mes rêves de gâteaux et autres biscuits sucrés dont je me prive en ce moment sans résultats sur le boudinage.

mardi 23 février 2010

Jérôme COMMANDEUR se fait discret au Splendid


Journée de chien. Météo de grenouille. Quelques cartons toujours à déballer. Pas envie. Trouver le moyen de pas le faire…pas facile quand on est 2. Pourtant toutes les excuses sont bonnes. Par exemple : « chéri j’ai toujours pas une chronique pour cette semaine…Et si on allait au théâtre ?? » Biensur dans ma grande générosité « je paye ! je te laisse choisir le spectacle» ! eh oui, quelle autre méthode pour le faire dire oui ?! Et il dit oui facilement. Mais « oui » c'est bien mais voir quoi c'est une autre histoire !!Stéphane Guillon complet jusqu’en avril (pas facile) Michelle Bernier complet aussi…
Jérôme Commandeur …encore de places à tarif très réduit. Hum hum…
Comme dans le quartier il n’y a pas grand chose à faire, vu le nombre assez important de théâtres et restaurants au mètre carré, je risque pas ma carte bancaire, alors on trace du métro jusqu’au Splendid.
Une salle assez grande, habitée encore par les photos des « Bronzés » . Dire qu’à l’époque c’était plus simple d’avoir une grade salle comme celle ci à sa disposition. Essayez aujourd’hui de jouer dans une salle pareil, sans producteur, sans moyens et vous allez voir si vous y arrivez…heureusement qu’il existe encore quelques théâtres qui donnent une chance aux nouvelles compagnies. Le Spelndid n’est pas une, car si vous n’avez pas un peu de succès ou vous n’avez pas un producteur ou metteur en scène avec un nom connu comme Dani Boon par exemple pour ce spectacle, c’est pas la peine.
Mais, revenons à cette magnifique salle qui se fait un peu vieille par endroits. Surtout quand vous êtes au balcon au fond et que vous avez du mal à voir la scène. Heureusement que la salle n’est pas remplie et qu’on as pu bouger au dernier moment, pour se mettre plus près afin d’admirer le physique réel de Jérôme. Car s’il y a une chose qui peut faire la différence entre l’affiche et la scène, est bien le physique. Quelques kilos en moins sur l’affiche alors que sur la scène il y a bien au moins 5 de plus!!  Mais ce sont pas les kilos de Jérôme qui nous intéressent, bien que ça fait un peu ridicule quand les rideaux s’ouvrent, ce qui est intéressant avec cet comédien est sa capacité d’incarner autant de personnages. 
Et de les tenir avec sa voix, de fois bien placée dans les aigus. Il passe sans problème d’une secrétaire à Bibi le routier. Sa technique vocale lui permet d’incarner plus de 90% de ses personnages. Car si du point de vue technique vocale, tout est parfait, du point de vue tenue de scène, il manque encore de précision dans le corps. De même, par moments, il passe bien trop vite d’une idée à l’autre ce qui fait qu’on as même pas le temps d’intégrer ce qui vient de dire que c’est déjà finit et on est passées à autre chose. IL y a des personnages plus aboutis et d'autres qui sont en travail.
Afin quelques idées ressortent et restent bien dans la tête de ceux qui sont venus le voir. Car Jérôme nous apprend la conjugaison du verbe « Croire » selon Bibi le routier : croive qui vient de l’anglais belive. Aussi bien on apprend qu’il est ni beau, ni moche mais moyen "trait pour trait rien ne jure" ...je laisse à Jérôme le soin de vous expliquer ce que ca veut dire. Les « Milles et une Images » on aussi leur petit sketch dédié. Par contre si vous les connaissez pas, il vaut mieux se renseigner avant d’y aller, sinon vous avez un bon quart d’heure de passage à vide. Et si vous écoutez « Rire et chansons », vous avez déjà entendu la célèbre : Rosé ? Non rosé s’est vous » qui revient avec Bibi.
En tout cas vous passez une bonne heure et quart dans sa compagnie. Et voir quelqu’un sur scène avec autant d’énergie et de joie de vivre, aide à le soutenir dans sa démarche. Mais bon, quand on as Dani Boon comme allié, vous avez tout le monde dans sa poche. 

En tout cas, on as passé un bon moment sympa. Et les cartons ont été déballés bien plus tard (pas à ma connaissance jusqu’à ce jour)

Ne pas rater dans le même théâtre  « La mégère à peu près apprivoisée »

dimanche 21 février 2010

L’IMPOSSIBLE Photographie Prisons Parisiennes ou Menu d’une RTT culturelle

Vous avez rêvé d’une RTT culturelle ? Voici un menu qui risque non seulement vous "culturaliser" votre journée mais aussi de faire vibrer vos papilles.
Pour ceux qui ne savent toujours pas ce que ça veut dire RTT voici la définition officielle :
« La réduction du temps de travail (RTT) prend généralement la forme de jours de repos supplémentaires dans les grandes entreprises et d’une réduction hebdomadaire ou bi-mensuelle du temps de travail dans les petites. »

Maintenant si vous voulez une définition officieuse, moi je dirais que c’est la journée ou demi journée pendant laquelle je pense à mes collègues qui travaillent alors que moi je suis dans mon lit avec un bon bouquin.
Voici le Menu que je propose: Musée Carnavalet et Restaurant au cœur du Marais.
Alors réveillez vous doucement, pas la peine de se speeder, vous êtes en congé. Prenez un bon petit déjeuner : brioche, croissants, pain au chocolat…tout ce que vous aimez ! Prenez votre parapluie(on sait jamais) et allez avec la 1 jusqu’au quartier du Marais au cœur duquel non seulement vous allez trouver le Musée Carnavalet mais aussi des boutiques sympathiques. Le but étant la culture Parisienne, ne commencez pas par le lèche vitrines, laisser cela pour la fin afin d’éviter l’attaque cardiaque de votre carte bancaire.
Arrivées au Carnavalet, prenez un ticket pour l’exposition ainsi que pour tout le musée. Si la visite du musée est gratuite, l’exposition sur les Prisons Parisiennes coûte un peu mais rien d’exorbitant pour cette sélection de 340 photographies réalisées dans les prisons de la capitale de 1851 à nos jours. Cette sélection étant éclairée par des textes littéraires ainsi que de films d’archives et créations contemporaines.
Si au départ, on nous propose une vision extérieure de la univers carcéral, très vite nous sommes plongées dans la réalité pénitentiaire : gardiens, prisonniers, cellules…tout en démarrant par nos jours pour finir sur le passé. Certes, les choses ont évolués mais il y a une chose qui ne chargera jamais : l’enfermement. Et ceci vous pouvez le ressentir dans chaque une des photographies ou films présentées. Ce qui m’a marqué le plus : la guillotine, cette espèce de machine à touer utilisée encore dans les années 70. Et aussi l’ingéniosité des prisonniers pour continuer à vivre. Prenez comme exemple la  «  lampe de Michel » : une boite de Ricoré, 4 piques à viande plantés dans la boite, du papier imprimé collé sur un carton pour le rendre plus rigide, des franges confectionnés à partir du papier à cadeaux. Le fil de fer et une douille récupérés lors des travaux. Tout ce mélange peu conventionnel pour une minute d’intimité nocturne.
Une fois l’exposition finie, votre estomac aussi rempli de culture qu’il est , il risque de s’exprimer. Alors sortez du Musé et prenez à gauche et sur votre gauche vous allez voir une petite placette entourée de brasseries au 7 rue Caron (ou anciennement 9 place du marché Sainte Catherine). Je vous recommande d’aller au « Pitchi Poi » ou la cuisine de l’Europe d’Est et Centrale est au rendez vous gastronomique à ne pas rater. Pas cher mais extrêmement copieux et bien présenté, ce restaurant vous propose un large menu des spécialités d’ici et d’ailleurs. Prenez un bon vin rouge d’Hongrie pour accompagner vos plats, il est très doux et sucré. Si vous arrives jusqu’au dessert…prenez un strudel, il est délicieux, comme tous les desserts de la carte.
 Une fois le repas finit, revenez sur vos pas pour la suite de la visite : musée Carnavalet et sa délicieuse et précieuse collection de vie parisienne. Allez admirer plus de 100 pièces qui enferment : vestiges archéologiques, vues du Paris d’autrefois, maquettes de monuments anciens, enseignes, ensembles décoratifs provenant d’édifices disparus, scènes historiques ou anecdotiques, portraits de Parisiens illustres, souvenirs d’hommes célèbres ou témoignages de la vie quotidienne, ainsi qu’un ensemble unique sur la période révolutionnaire.
Si au rez-de-chaussée on as pus se plonger dans la vie des prisons Parisiennes, aux étages vous pouvez revivre l’univers bourgeois de la vie Parisienne d’autrefois. Ma pièce préférée ?  Au premier étage : la pièce qui renferme les portraits de plus grands acteurs et auteurs de théâtre de l’époque : Sarah Bernard, Victorien Sardou, Fouché etc.
Quand vous aurez assez de cette RTT culturelle, sortez du musée pour aller Place de Vosges qui est juste à côté. S’il pleut pas, promenez vous et profitez de votre journée qui est juste en train de se finir.
Sur ceux…prenez des RTT, si vous en avez le droit ou la possibilité, et faites vous du bien !

Si vous aimez les exposition lisez aussi: MONUMENTA

lundi 15 février 2010

MONUMENTA ou Ensemble c’est bon


Une première semaine de vie commune, ça se fête ! Copains, beaux parents, raclette et promenade en foret. Eh oui, c’est ça l’avantage de vivre dans le cartier « des rigollots », on as le bois de Vincennes à deux pas. Finalement, c’est pas si compliqué que ça de vivre à deux. On rentre et l’autre est la, nous attendre. Le lit est chaud et puis c’est agréable de dire à quelqu’un « j’en ai marre ». Pester sur l’autre s’est le meilleur remède d’une journée dure de travail.
Le seul bémol : devoir négocier une place pour ses affaires. Et c’est le drame quand il s’agit d’une place pour mes parfums. Comme j’ai plus de 21 parfums ouverts en ce moment (je ne compte pas ceux qui se trouvent encore dans  l’emballage), c’est dure de loger tout ce monde dans un seul placard, commun (en plus !!). Du coup il faut user de vieux astuces de filles : les yeux doux, gentillesse, intelligence et s’il faut un peu de larmes au coin de l’œil !! Tout un art de la négociation !
Mais voilà que cela fait plus de 3 semaines que je veux vous parler de MONUMENTA au Grand Palais mais j’ai toujours trouvé une excuse. Cette exposition par Christian Boltanski qui se finit le 21 février(très bientôt), a comme thème les « Personnes ». Je suis allée la voir de jour. On  dit que c’est encore mieux de nuit…si vous avez la possibilité, allez y de nuit ! Quoi qu’il arrive, habillez vous bien car le froid fait partie de la mise en scène !
Mais revenons à ce travail de mémoire qui se mêle à la recherche sur les mythologies individuelles que cet artiste nous livre dans cet grand espace. Dès votre entrée vous allez être saisis par l’odeur et la couleur de ces caisses rouillées et numérotées qui rappellent tellement le gestapo. Se sont « les coffres du pauvre »  comme l’artiste le nomme, de boites de biscuits à petits souvenirs de grand mère. Prenez le temps de vous arrêter devant, c’est assez impressionnant de sentir l’atmosphère étrange que dégagent ces numéros inscrits sur le fer rouillé dès l’entrée.
Arrivées dans la nef du Grand Palais, 69 rectangles de manteaux  vous accueillent au rythme de 69 battements de cœur. Rectangles qui rappellent la mort, l’Auschwitz, le sacrifice, l’humanité. Des manteaux de tous les couleurs et formes, neuf ou usées par le temps ou par les personnes qui les ont portés. De manteaux de vieillards, de nouveaux nés, des ados, de femme, d’hommes, d‘enfants. Et en passant d’un rectangle à l’autre des battements de cœurs s’élèvent de ce cimentière à vêtements. Etrange. Tellement étrange de se balader parmi l’absence des autres. Car ce qui m’a marquée le plus c’était l’absence des autres et pas la présence de leurs vêtements.
La pièce de résistance reste quand même cet énorme montagne de vêtements qui s’impose dès l’entrée. Cette espèce de main téléguidée qui remue au rythme de cœurs les habilles . Mais contrairement à ce qu’on peut croire, la montagne de vêtements est moins impressionnante que les rectangles de manteaux. Il y a une sorte d’ambiance morbide quand on passe entre ces tombes. On pense à ces camps de concentrations et à ces montagnes de chaussures comme on peut voir dans les documentaires.
Pour sortir de cette routine de rectangles allez vers votre droite. Il y a un petit cabinet ou vous pouvez faire don de votre battement de cœur. Ainsi un banque de battements de cœurs va être crée par l’artiste. Prenez un ticket et s’il y a pas de problème technique, une belle brune en blouse blanche viendra vous chercher pour immortaliser votre cœur ; A la sortie vous pouvez même récupérer ce son formidable que vous venez d’enregistrer.
Je sais que je vous ai pas prévenue assez vite mais mieux vaut tard que jamais…habillez vous avec le plus gros manteaux que vous avez, de gants et une bonne écharpe et allez voir cette exposition étrange mais fortement intéressante !Offrez vous ce moment d’émotion spectaculaire qui questionne la nature et le sens de l’humanité.

dimanche 7 février 2010

Sherlock Holmes ou enfin ensemble !?


Grande journée : déménagement. Un samedi pluvieux, froid et pas très chanceux. Nombre de personnes susceptibles de nous aider : 10. Désistements : beaucoup. Poisse. Personnes nous avoir aidé : 3. Mal. Mais on as bien réussi à s’installer. Mal partout. Fatigue et râle bol de bouger de cartons ou de meubles. Nouvelle vie à 2 qui commence. Curiosité ? Sérieux ? Engagement ? Habillées comme de clochards, on est allées sur les Champs pour voir le dernier Sherlock. On est passés inaperçus parmi les bobos parisiens en voiture et les touristes sur leur 31 pour la photo officielle. Moment de détente. Café et ciné au programme pour oublier le mal de dos, jambes et mains.
Si je devrais résumer ce film en 1 mot je dirai : FADE. Mais pour les fans du style, c’est un vrai moment de détente et de bonheur. Il y a de l’action, de belles filles, de beaux garçons, une histoire accompagnée par la musique qui va avec. Tout est la pour passer un bon moment. Mais si vous avez un peu plus d’exigence cinématographique  vis à vis de la série de Sherlock’s, il faut dire peut être dire qu’il y a pas grand chose à retenir de ce travail.
Pour démarrer l’histoire : conspiration. Déjà vu.
Manière dont on nous raconte l’histoire : fatigante. Pour être sur qu’on as bien suivi l’histoire et qu’on as tout comprit, Gui Ritcchie nous fatigue avec de flash back et des explications en doublon.
Personnages : intéressants mais pas aboutis. Si Robert Downey JR, d’un temps à l’autre nous tient en haleine, Jude Law est complètement hors compétition. Le premier s’inspirant du personnage de Heath Ledger dans « The Dark Knight » , essaye de construire une sorte de personnage intellectuel et froid qu’il n’arrive pas à le tenir jusqu’au bout. Malgré ses efforts, il oublie de nous faire passer l’émotion, ce côté touchant que tout être humain possède. Quant à Jude Law, on pourrait facilement le remplacer par un autre acteur, se serait exactement pareil. Une petite préférence pour Rachel Mc Adams, cette actrice canadienne qui jour ici le rôle d’une voleuse et qu’on as déjà vue dans « Hors du Temps ».
Côté son et musique : déjà vu. On voit bien que le réalisateur a bien revu des classiques . Car cet effet subjectif de puissance sonore on l’as déjà expérimentée au cinéma.
Côté image : déjà vu. On sait qu’il aime « Matrix », sinon pourquoi nous placer un effet au ralenti à toute occasion ?!
Côté effets spéciaux : mauvais parfois.
Côté musique : j’ai beaucoup aimé.

Ce qui est bien avec ce film ce que dès la première minute vous êtes dans l’action. Même si l’histoire d’essouffle et la rythme aussi, au moins, ça démarre bien. En tout cas, on ne sorte pas déçus, tout dépend ce que vous attendez de ce film. Moi en tout cas, moi j’ai passé un bon moment.