dimanche 31 janvier 2010

IN THE AIR


J’adore les aéroports. Et je ne dis pas ça pour introduire le film. J’adore les aéroports. Ca m’inspire le voyage, les vacances, le bonheur. J’ai pris pour la première fois l’avion en 1999, le jour ou Lady DI est morte, pour venir à Toulouse. C’était ma première sortie à l’étranger. Un mois toute seule, parmi les étrangers !! Je me rappelle encore ce vol pendant lequel on avait dévalisé le stock d’alcool des hôtesses. Compte tenu du fait qu’on avait une bourse misérable et qu’on partait pour un mois avec seulement 15 kilos de bagages, mon voisin m’avait conseille vivement de voler les couverts de chez Air France. Facile de le dire mais pas facile d’être à l’aise pour le faire. A l’époque, la compagnie vous offrait un bon repas avec de vrais couverts bleu blancs. Après un verre de vin blanc, j’ai pris les couverts et je les ai mis dans le sac à main de l’époque. J’avais honte… J’ai eu moins honte quand j’ai vu que la moitié de l’avion avait fait le même geste que moi. ON était tous en train de chercher de raisons d’avoir nos sacs à main près du plateau. Je les ai encore en guise de souvenir. Quelques années plus tard, j’ai interrogée d’autres collègues qui vivent actuellement en France. Figurez vous que ces couverts sont devenus de stars de la cuisine car la majorité de mes amis les ont gardés. C’était l’aventure à l’époque… Le premier souvenir que j’ai de mon premier séjour en France?? Les yaourts aux fruits. Chose qu’on avait pas forcement chez nous ou qui coûtait tellement cher qu’on pouvait pas se permettre. Alors le premier jour de mon arrivée, j’ai tellement mangé des yaourts que je suis restée aux toilettes toute la nuit.
Mais pour revenir à ce film sympathique, je dirai qu’il arrive très bien à nous faire vivre l’ambiance de l’aéroport. Les salles d’attente, le bruit dans les avions, les superbes nuages que tout le monde prend au moins une fois en photo.
Jason Reitman reviens après Juno avec une autre comédie qui nous fait rire des malheurs des autres. Eh oui, l’être humain a cette capacité de rire de problèmes des autres tant qu’ils ne sont pas les siens. Cette fois, il choisit un beau gosse célibataire en quête de ses 10 millions de miles pour personnage principal. George Clooney qui interprète ce rôle, passe ses journées à virer des employés à la place des chefs qu’ils n’ont pas le courage. Métier qui demande beaucoup de force de caractère, pas  d’attache et beaucoup de disponibilité. Et tout va bien jusqu’à ce qu’il raconte 2 femmes : une jeune collaboratrice qu’il doit former et une belle femme qui correspond tout à fait à ses critères . Je ne vous dirai pas la fin, car elle est assez prévisible même trop téléportée. Je vous dirai juste que l’histoire n’est pas exceptionnelle mais qu’elle rend hommage à Amélie Poulain et à l’histoire de nain. Il n’y a pas un jeu d’acteurs qui nous fait vibrer au point de se dire qu’ils méritent un Oscar, mais ils sont beaux. J’ai passé la moitié du film à me dire « il est charmant quand même ce George »… Côté réalisation, c’est correct. Belles lumières, beaux paysages , beaux plans sur des valises, mais sans plus. Le moment que j’ai aimé? La scène ou les 2 filles racontent l’idéal masculin. Je trouve que c’est assez bien vu car on as le point de vue d’une jeune fille qui as la vingtaine versus une trentenaire passée. Ca risque de vous intéresser Mesdames…
J’ai passée un bon moment de détente . Une fois sortie du film j’avais envie de partir en vacances…mais je n’ai pas assez de jours de congé et c’est vraiment pas le moment. Alors je suis rentrée à la maison pour faire les cartons…une autre manière de voyager est de déménager.  La semaine prochaine j’emménage (ou) déménage ça dépend du point de vue …

dimanche 24 janvier 2010

GAINSBOURG au complet



Pluie. Froid. Week-end de larve devant Jessica Fletcher. Mon copain me déteste. Il prépare le déménagement, moi je reste sous la couette.
On avait essayé vendredi d’aller voir Gainsbourg vie héroïque. Complet. Samedi soir pour être surs d’avoir une place, on est allées chercher nos places bien à l’avance, avant d’aller se mêler à la foule pour voir les soldes.
C’est fou comme les gens aiment aller au cinéma. Malgré le prix qui reste assez exorbitant, les Parisiens investissent dans le cinéma.
Pour cette fois, ils ont eu vraiment raison car le film de Joann Sfar est un vrai bonheur. J’avais peur de voir encore une fois un film autobiographique ou l’acteur principal est tellement transformé qu’on ne voit plus que le personnage…Cette fois, l’acteur dépasse le personnage car physiquement, Eric Elmosnino est Gainsbourg sans aucun ajout ou transformation. J’avais peur de voir un film musical mais j’ai vu une belle histoire en images soutenue par des magnifiques apparitions des personnages aussitôt réels  aussitôt imaginaires. Joann Sfar arrive a transformer l’histoire en un sorte de théâtre grandeur cinéma. Prenez comme exemple le Gainsbarre, ce démon de minuit qui guide l’artiste à travers son œuvre. Cette apparition qui ressemble tant à une bande dessinée tant à un personnage SF résume très bien l’état de ce personnage. Que vous dire de plus de Eric et Gainsbourg ? Que le personnage est très bien construit et qu’on voit apparaître pour de bon le maître Gainsbourg. Au départ Lucien, après Serge pour qu’en dernier, Eric nous transporte dans l’univers de Gainsbourg. Et ce n’est pas parce qu’on voir en premier plan Gainsbourg que les autres n’existent pas. Au contraire. Tous les autres personnages sont magnifiques. Lucy Gordon dans Jane Birkin est époustouflante. Dommage qu’elle n’est plus parmi nous pour écouter les critiques. D’ailleurs le film lui est dédié. Laetitia Casta nous coupe le souffle quand elle joue Brigitte Bardot. A regarder et déguster la scène de la danse auprès du piano. Je pense que touts les Monsieurs de la salle se rappellent cette petite  intervention. J’ai été fière de voir aussi un acteur roumain à affiche, en plus, un que j’ai connu pendant ma jeunesse et que j’aime beaucoup : Razvan Vasilescu. Il joue ici le père, un pianiste qui a toujours voulu le mieux pour son fils. Et il est très convaincant dans son rôle et très touchant dans sa complicité avec Lucien.
La mise en scène est très soignée. Elle me rappelle plutôt une scène de théâtre qu’un film. Même la direction d’acteurs est dirigée plus vers une version grande scène que cinématographique. Et c’est peut être ça qui nous plait ?!Je suis devenue fan de la scène du taxi. Je trouve tellement bien la façon dont il place son personnage à ce moment précis, de début de carrière. Cette nuit qui va changer le cours de sa vie.
Mais je m’arrête la, car je n’ai pas grand chose à dire. Ah si oui, un petit point négatif : cette manie de toujours nous montrer la genèse d’une chanson connue, c’est un peu trop répétitif à travers les films autobiographiques. J’aurais aimé ne pas le voir mais je pense que c’est un passage obligé !
Chers amis, allez voir ce film ! Ca vaut la peine ! Bonne soirée !!

samedi 16 janvier 2010

INVICTUS ou comment choisir son pantalon


Température : 11°C. Temps : soleil. Saison : hiver. Lieu : Paris. Incroyable le temps en ce jour de samedi. Du coup manteau, bottes et pull pour aller faire les soldes. Je ne voulais qu’un pantalon classique noir. Mais ou trouver un pantalon qui arrive à couvrir vos fesses quand on est assis , sans laisser la moitié de votre culotte à la vue de tout le monde ? Je ne sais pas vous, mais moi, je suis très mal sculptée au niveau des hanches.  38 pour un tour de taille alors qu’en bas se sera plutôt du 42. Alors comment trouver une bonne paire de pantalon qui vous rend belle sans faire de vous une sorte poire énorme ambulante? Avez vous remarqué qu’en fonction du magasin ou vous achetez, vous êtes plus ou moins maigre ? Tenez pour exemple : si pour un Promod je rentre dans un 42 alors que pour un H&M je suis la reine du régime car j’arrive à rentrer dans un 38. A croire qu’ils n’ont pas le même système de mesure… La même chose pour les miroirs dans les cabines d’essayage. Mon cauchemar : celles de chez Camaïeu. Elles grossissent (ou bien elles montrent la vérité ???!!) .  Je ne peux pas acheter mes vêtements quand je me regarde dans leurs miroirs. J’ai abandonné vite ce supplice une fois que j’ai fait 5 ou 6 magasins. Les soldes ne sont pas une excuse pour me rappeler que trouver un pantalon qui me va bien, reste mon cauchemar!

Alors INVICTUS , ce poème victorien, me semblait le plus juste pour répondre au défi du destin. Je suis allée très enthousiaste voir le dernier Clint Eastwood.  Avec de noms comme Matt Damon et Morgan Freeman à l’affiche, on s’attend à un chef d’œuvre. Même si l’histoire racontée est inspirée de faits réels et devrait nous toucher,je suis restée triste devant ce film. Pourtant avec des personnages comme Nelson Mandela et une Coupe du Monde de rugby gagnée par l’Afrique du Sud, on devrait se sentir concernés. Surtout que l’histoire raconte les déboires de ce nouveau président pour unifier son pays à travers le rugby. La pauvreté, la lutte politique, l’effort de cette magnifique équipe pour réussir sont les thèmes abordés.
Le problème est que ce film démarre véritablement qu’au bout d’une heure et demie. Pendant tout ce temps, il se passe rien, ou mieux dire, le réalisateur ne fait qu’exprimer en doublon toutes les scènes. Coupez la moitié du film vous aurez le même effet. Si Eastwood était un débutant, on aurait pu dire qu’il est jeune et inexpérimenté. Mais un grand réalisateur comme lui, il n’a pas d’excuse. On se demande même si c’est bien lui qui était derrière la caméra. Parlons pas de la lumière ni du son car ça frôle la catastrophe. La musique nous fait penser plutôt au Roi Lion qu’à du rugby. A part de se soucier pour la sécurité de Mandela, il n’y a pas d’enjeu dans l’histoire. Parlons même pas des scènes de rugby qui sont vraiment moches. Peut être ils étaient pressées au montage et ils n’ont pas choisi bien les images ? Quant aux acteurs : si Morgan Freeman est véritablement possédé par Mandela, ce n’est pas la même chose pour Matt Damon. Car de son côté , Damon oublie parfois qu’il joue un sud africain et il reprend son accent américain. Pour par dire que son jeu est minimaliste et parfois absent.
Pourtant , à la fin on as envie d’être dans le film car l’enjeu du match nous prend par les tripes. Mais c’est bien trop tard. Dommage pour un réalisateur aussi talentueux, des acteurs aussi bons et un sujet qui aurait pu nous toucher plus.
A la fin du film, quelques personnes ont applaudi. Je me demande pourquoi. Pour le fait que les Africains ont gagné contre les All Blacks ? Ou parce qu’ils ont aimé ? Je n’ai pas compris ce que je venais de voir. A vrai dire, je n’ai même pas bien vu la différence sociale entre les 2 populations qui cohabitent en Afrique du Sud . Pourtant il y a énormément de gens qui ont peur tous les jours de vivre la bas. En connaissant des sud africains exilés, j'ai trouvé tellement futile l'histoire racontée par Eastwood. A part voir de noirs et de blancs qui essayent de faire la paix autour d'un stade de rugby, c’est le grand vide.
Par contre, si vous avez envie de voir plus sur Clint Eastwood, ce parisien de cœur, sachez qu’à la sortie de la station Champs Elysées Clemenceau (M13) , il y a une exposition gratuite consacrée à sa carrière.   Allez admirer plutôt ses photos !


mardi 12 janvier 2010

TETRO ou bail signé



Samedi sous la neige : visite d’appartement , rencontre fabuleuse, signature de bail, déménagement prévu pour 1er février. Pourquoi les choses ne vont pas aussi vite tout le temps ? Pourquoi se prendre la tête et perdre du temps quotidiennement ?
Pour une fois, après 6 mois de recherche, on s’est senti enfin traités comme des  êtres humains. On était plus un numéro, une attestation de travail ou un RIB, on était bien des clients...Pas de visite d’appartement en même temps que d’autres personnes, pas d’attente pour une réponse , pas de formalisme et surtout un bon café chaud pour accompagner la signature. Un grand merci à cette agence immobilière ou plutôt à ces gens qui ont le cœur sur la main. Ils nous ont écoutés, ils nous ont soutenu dans notre projet et surtout ils nous on fait confiance. Pour un moment, j’ai cru vivre un rêve. Mais non…c’était bien réel. On as enfin un appartement. Il est intermittent du spectacle et ça n’a pas d’importance.
Pour continuer le rêve, le dernier Coppola a été le bienvenue. Cette histoire bouleversante ou le destin de deux frères est séparé pas un lourd secret de famille. Deux génies qui se refusent de reprendre le cycle infernal des erreurs faites par la passé et ils choisissent d’avancer malgré tout. Un film touchant, extrêmement abouti qui mélange réalité noire, souvenirs tout en couleur et lyrisme à forte dose. Qu’un artiste aussi mature et complète peut nous donner une si belle vision de la vie à travers son art. Ce film il va rentrer probablement dans l’histoire du cinéma, vous savez, cette histoire qu’on apprend à l’école. Car je pense qu’un étudiant au cinéma pourrait vous trouver plus de symboles et liens que moi je peux avec le peu de mots que je possède sur la valeur de plans, le montage et la lumière assez particulière qui décrit si bien pourtant le point de vue du réalisateur. Moi je dirai juste que Coppola nous surprend avec ce film par sa capacité de mélanger différents styles et ambiances, couleurs et histoires pour ne faire qu’une, celle de Tetro.
NE parlons pas de ces acteurs formidables qui défilent au fur et à mesure et qui sont remarquablement dirigés : Vincent Gallo, Maribel Verdu, Klaus Maria Brandauer. A remarquer  Alden Ehrenreich un jeune acteur pas très connu des grand écrans mais qui nous fait penser tellement à Leonardo DiCaprio tant par son jeux que par sa mimique.
S’il y avait un plan qui m’a marqué, je dirais  que la scène du Festival de Patagonie est une de plus belles. Car c’est le film dans le film, la critique dans la critique . Cette scène donne du sens à tout ce qu’on as vu auparavant et signe la rupture totale avec le passé.
En conclusion, un film a ne pas rater. De mon côté je suis contente de l’avoir vu car j’ai appris beaucoup de choses sur l’utilisation e l’espace, la couleur et la mise en scène.
Nuit longue, alors il vaut mieux que je vous laisse prendre votre décision : Avatar ou Tetro ?!

dimanche 3 janvier 2010

SCENE OUVERTE AU THEATRE DE LA MAIN D’OR


Après midi d’hérisson : vent et soleil froid sur Paris. Remède : une salle de théâtre pour rencontrer des nouveaux talents.

Rendez vous : les dimanches à 18H au « Théâtre de la Main d’Or ». Prenez le petit passage juste en face de la sortie de Métro qui vous emmène a ce lieu moins commercial que le « Jamel Comedy Club » mais qui vous propose un concept ressemblant et gratuit. Les protagonistes ne passent pas à la télé mais ils ont la chance de présenter leur savoir faire artistique gratuitement (ce qui est de plus en plus rare sur Paris) et devant un public chaleureux.  
Pour info, n’importe qui peut jouer sur une scène à Paris, du moment ou il arrive à payer la location de la salle. Les lieux gratuits sont très rares et ressemblent rarement à un théâtre. D’habitude c’est un grand hall ou bien un petit plateau crasseux ou pire une grotte dans laquelle on vous colle des tables pour faire de la consommation. Mais dans ce cas, on donne la chance aux comédiens débutants de jouer dans un lieu qui n’as pas honte de s’appeler Théâtre. Une main tendue pour présenter un travail de qualité.

Le concept est très simple : s’inscrire sur une liste à l’avance et vous avez 5 minutes chrono pour convaincre le public. On se limite pas seulement au théâtre, car durant la soirée vous avez des chanteurs, du stand-up et des sketches.

Je n’ai pas pu assister à intégralité du programme, mais parmi les au moins 10 personnes que j’ai pu voir (ou écouter), 3 m’ont vraiment attiré l’attention. Pour pas faire des jaloux, je les citerai dans l’ordre de passage.

Tout d’abord Guillaume Meurice, jeune comédien sorti du Cours Florent, qui nous bluffé dans son rôle de Marianne extrêmement masculine mais tellement hilarante. Ce comédien qui maîtrise si bien son public que ses répliques nous fait connaître les 2 symboles de la France : le vin et les antidépresseurs. Eh oui, la France est un des pays qui en consomme le plus, et bravo pour nous le rappeler sous cette forme aussi humoristique. Dommage qu’on as pu profiter de sa présence que pendant 5 minutes. Si cet aperçu théâtral vous donne envie, sachez qu'il est à l'affiche avec son one man show "Tout le monde y passe" au Café Théâtre Popul'air.

Le deuxième comédien qui a réussi à capter toute l’attention du public fut Yves Rocamora, un autre ex-étudiant des Cours Florent. Costume noir, cheveux noirs humour noir. Ce fut la première fois qu’il interprétait un des sketches qu’il a écrit pour son One Man Show. Avec un humour sarcastique et un dialogue permanent avec son public, Yves nous charme avec ce personnage de chef d’entreprise qui fait sa réunion mensuelle. Pas si compliqué de comprendre pourquoi ses employés préfèrent se suicider que de continuer à travailler pour lui. Contrairement à Guillaume, Yves nous a laissé savoir que d’autres morceaux de son spectacle seront joués les dimanches au Théâtre Travis. J’espère pouvoir voir en entier son spectacle afin ed découvrir plus les personnages qui nous a crée.

Et bien sur le dernier mais juste dans l’ordre d’apparition, Gerard Graillot qui nous donne ses bonnes recettes pour mieux vivre : consommer du bio, louer un appartement au Cernobîl, contacter la Mairie la plus proche pour location de personnes âgées afin assurer sa longévité. Son spectacle « Libérés pour mauvaise conduite » est déjà programmé dans ce lieu même, pour 14 février. Je suis sure que les amoureux qui vont venir le voir vont profiter pleinement de leur soirée.

Au moment même ou j’ai voulu quitter la salle, je me suis fait arrêtée par une voix étonnante. Dani, un chanteur au physique d’un rappeur mais qui nous a enchanté avec sa voix profonde sur «Georgia On my Mind » de Ray Charles. Je suis restée bouche bée devant ce phénomène car je m'attendais pas à une voix pareil.

Une fois que libérée de cette surprise j’ai pu enfin rentrer et me préparer pour la reprise de travail. Malgré cette superbe soirée passée en compagnie de ces gens extraordinaires,  la réalité nous rattrape vite. Lendemain réveil à 7H comme tous les jours. Vivement le week-end!!!


vendredi 1 janvier 2010

BOA VIDA au Théâtre Clavel

Comédie dramatique qui sonne comme une farce tragique à l'ironie à peine dissimulée malgré les éclats de rire, d'une famille portugaise immigrée en France.
De multiples thèmes sont évoqués à commencer par les liens familiaux, deux mondes qui cohabitent sans se comprendre : celui des parents et celui des enfants. Mais aussi la saudade, la nostalgie du pays...
Alternant légèreté comique et intensité dramatique, le destin d'Ana, adolescente puis jeune adulte...traverse la pièce, bousculant ainsi les codes et les apparences.
Trame de la pièce, l'espace de la psychanalyse et ce qui s'y passe, est aussi vécu comme une issue possible.
Les vagues à l'âme, au cœur, sont la mélodie à entendre derrière les mots, la petite musique qui accompagne les personnages...





Texte et mise en scène de Nathalie MAIA
Distribution: Emmanuelle Cousin (Ana), Alina CICANI (Emilia), Jean-Christophe Bezaud (José), Alexis Loubières (Stephane), Sophie Pereira (Christine, Psy)




 Renseignements pratiques: Theatre Clavel tous les mardis et mercredis du 19 janvier au 31 mars 2010, réservations au 06 26 45 48 40 ou lescreatores.cie@orange.fr  
Tarif plein 18 EUR, tarif réduit 12 EUR.
Réductions sur:
BilletRéduc , Theatre Online
 
    

Photo: JB Gaillot
REVUE DE PRESSE
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Pour tout contact professionnel vous pouvez joindre l'attaché de presse au 06 26 45 48 40
Photo: JB Gaillot


















Photo: JB Gaillot


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